Cette croissance est toutefois à relativiser car elle fait suite à une baisse marquée en 2017 à -6%. 873 annonceurs beauté ont pris la parole en 2018, c’est près de 400 intervenants de plus qu’en 2013 (+73%).
Si le segment du soin s’est montré le plus dynamique en 2018 avec +5% de pression publicitaire brute, celui du parfum reste le plus important du marché en valeur et représente 1/3 de l’activité du secteur même si son évolution est plus modeste à +1% vs 2017.
D’un point de vue éditorial, la beauté reste le 1er discours journalistique malgré un léger repli (-2% vs 2017) avec 15 786 pages en 2018. A noter que 30% du rédactionnel beauté concerne le maquillage, 23% le soin et 14% le parfum.
Focus sur le soin:
On souligne une forte tendance de consommation pour le BIO ces dernières années : 38% des femmes de 15+ se disent attirées par les produits cosmétiques BIO. C’est 13 points de plus qu’en 2013 ! (source : TGI France)
Concernant les investissements publicitaires, les produits de soin représentent ¼ des communications médias et sont en hausse de +5% vs 2017. Une performance liée à la plus forte présence des marques vendues en circuit grande diffusion (+13% vs 2017).
Même tendance à la hausse en termes de pagination rédactionnelle où le soin connait une légère croissance, +1% vs 2017, dans un marché orienté à -2% sur la même période.
Focus sur le maquillage :
Le marché du maquillage connaît une profonde mutation de tendance en entrant dans un nouveau concept, celui du “Less is more”. Les investissements publicitaires du segment affiche une croissance à 2 chiffres à +18% vs 2017. Là encore, ce sont surtout les marques distribuées en grandes surfaces qui portent le segment avec +24% sur leur enveloppe budgétaire.
Les retombées éditoriales de ce segment sont en hausse de +3% vs 2017 avec, d’une part, une baisse marquée en presse (-10%) contre une croissance de +7% des pages web.
Focus sur le parfum :
Enfin, dernier marché et non le moindre, celui du parfum. Le segment reste le plus important en valeur depuis 2011 et enregistre une hausse modérée à +1% en 2018. On note donc un ralentissement de croissance pour ce segment qui affiche +16% d’investissement depuis 2013.
Le nombre de pages éditoriales consacrées aux marques du parfum subit de nouveau un net repli cette année (-5% en 2018), plus sévère qu’en 2017 (-3,5%).
Si le segment du soin s’est montré le plus dynamique en 2018 avec +5% de pression publicitaire brute, celui du parfum reste le plus important du marché en valeur et représente 1/3 de l’activité du secteur même si son évolution est plus modeste à +1% vs 2017.
D’un point de vue éditorial, la beauté reste le 1er discours journalistique malgré un léger repli (-2% vs 2017) avec 15 786 pages en 2018. A noter que 30% du rédactionnel beauté concerne le maquillage, 23% le soin et 14% le parfum.
Focus sur le soin:
On souligne une forte tendance de consommation pour le BIO ces dernières années : 38% des femmes de 15+ se disent attirées par les produits cosmétiques BIO. C’est 13 points de plus qu’en 2013 ! (source : TGI France)
Concernant les investissements publicitaires, les produits de soin représentent ¼ des communications médias et sont en hausse de +5% vs 2017. Une performance liée à la plus forte présence des marques vendues en circuit grande diffusion (+13% vs 2017).
Même tendance à la hausse en termes de pagination rédactionnelle où le soin connait une légère croissance, +1% vs 2017, dans un marché orienté à -2% sur la même période.
Focus sur le maquillage :
Le marché du maquillage connaît une profonde mutation de tendance en entrant dans un nouveau concept, celui du “Less is more”. Les investissements publicitaires du segment affiche une croissance à 2 chiffres à +18% vs 2017. Là encore, ce sont surtout les marques distribuées en grandes surfaces qui portent le segment avec +24% sur leur enveloppe budgétaire.
Les retombées éditoriales de ce segment sont en hausse de +3% vs 2017 avec, d’une part, une baisse marquée en presse (-10%) contre une croissance de +7% des pages web.
Focus sur le parfum :
Enfin, dernier marché et non le moindre, celui du parfum. Le segment reste le plus important en valeur depuis 2011 et enregistre une hausse modérée à +1% en 2018. On note donc un ralentissement de croissance pour ce segment qui affiche +16% d’investissement depuis 2013.
Le nombre de pages éditoriales consacrées aux marques du parfum subit de nouveau un net repli cette année (-5% en 2018), plus sévère qu’en 2017 (-3,5%).